Mystérieuse Baja (ou plutôt en bon français « Basse-Californie »), voilà 3 ans que j’aspirais à découvrir cette longue péninsule, aussi étroite que méconnue, jalonnée de milliers de cactus et bordée de plages immaculées. C’est au volant de notre 4×4, face au soleil couchant en mode « road-trip » dans le plus pur cliché californien, que nous arrivons au petit matin au port de Topolobampo, non loin de La Paz, après une agréable nuit de traversée depuis le continent.

Laissez-moi vous emmener à la découverte de quelques points clés qu’on peut découvrir lors d’un roadtrip sur la côte est des États-Unis. J’ai fait ce voyage au mois de juin sur 2 semaines, il s’est révélé être une période propice à une très belle expérience – magnifiques villes, nature merveilleuse et une variété de cultures et d’histoire.

Une brise agréablement fraîche caresse votre visage. Devant vous s'étend un paysage montagneux d'un vert intense, l'océan scintille au loin. Vous êtes en train de profiter de la vue depuis le point culminant de Madère. Bientôt, le soleil disparaîtra derrière l'horizon, créant un magnifique jeu de couleurs dans le ciel.

Sa pointe élancée s'élève haut dans le ciel et reflète la lumière du soleil, tandis que les visiteurs du monde entier déambulent pour prendre des selfies et profiter de la vue. L'emblème marquant de la ville, le Washington Monument, se trouve au milieu du National Mall, le cœur culturel de Washington. Les impressionnants bâtiments et statues qui ornent le National Mall racontent, à travers leur histoire et leur design, des événements fascinants du passé.

Mon premier voyage sur le continent africain eu lieu en 2011 et me mena au pays de Nelson Mandela, l’Afrique du Sud. Conquise par sa diversité mais consciente de son immensité, je m’étais promis de revenir un jour compléter mes découvertes « de la nation arc-en-ciel », comme la nomma Desmond Tutu, grande figure de l’apartheid. Un beau jour d’octobre, me voilà donc en route pour Durban. Et comme lors de mon premier voyage, une prolongation en mode plongée au Mozambique est prévue, histoire de varier les plaisirs et de combiner « bush and beach » ! Le voyage commence au KwaZulu-Natal, région authentique qui s’étire de Durban aux portes du Swaziland. Prise de la voiture de location puis cap vers le nord. Nous passons une nuit dans le petit village de St-Lucia, ancienne piste d’hippopotames qui ont encore de nos jours leurs aises dans les ruelles et à proximité des hôtels. C’est donc tout naturellement en compagnie d’un habitué du coin que nous passons notre « sundowner » (apéritif au coucher du soleil – tradition immanquable en Afrique !). Le lendemain, départ pour la visite du vaste parc jouxtant St-Lucia : Plus grand estuaire d’Afrique (rien que ça !), on y découvre une multitude d’écosystèmes : des dunes orangées ou végétalisées aux marais, du bush broussailleux aux prairies verdoyantes sans oublier le lac et d’immenses plages sauvages. Nous passons ainsi une bonne demi-journée à parcourir ces superbes paysages, en compagnie des singes, mangoustes et antilopes diverses. Premier contact en douceur avec la vie animale africaine….

La première étape de notre découverte texane sera Houston. Disons-le clairement, le centre-ville est avant tout une grande collection de gratte-ciels, nous sentons une ville vibrante avec une importante activité économique. Ce qui va surtout nous intéresser est la passionnante visite du centre spatial de la NASA, qui est le point fort de Houston. Pour les voyageurs qui auraient déjà visite Cap Canaveral en Floride, je tiens à souligner que la visite à Houston n’est en rien un doublon : à Houston, nous sommes très tournés sur le côté éducatif et à présenter les projets de la conquête spatiale du futur. C’est pourquoi  il faut vraiment prévoir une grosse journée pour avoir le temps de tout voir et tout lire : en un après-midi, nous avons juste eu le temps d’un gros survol et avons dû faire un tri de ce qui nous importait de découvrir. Le site est très grand et comme en Floride, nous parcourons les divers lieux d’exposition avec des petits trains. Je retiens de cet après-midi notamment la passionnante visite de la vieille salle de contrôle des missions sur la lune, où nous sommes assis dans les fauteuils des visiteurs d’époque. Un autre point fort est la visite de la première maquette 1:1 de la navette spatiale Independence, qui est portée sur le dos d’un Boeing 747 sobrement appelé le « Nasa 905 ».